
Monteuse de documentaires
Je me plonge dans un montage comme on plongerait dans un pays inconnu, avec passion et prudence, tentant de comprendre les personnages, le contexte et la vision du réalisateur/trice pour trouver l’histoire à raconter.
En chantant au rythme des luttes, les musiciens chiliens font de leur histoire un hymne universel. Les écouter et ressentir leurs chants, c’est comprendre un pays et son peuple à travers sa musique.
Le film: https://vimeo.com/83672450
No Habrá Revolución sin Canción /
Il n’y aura pas de révolution sans chanson
90 minutes
Auto-production
Festival Cinelatino, « Prix Mario Ruspoli » et « Prix Bartók » au Festival International Jean Rouch à Paris. « Prix du public » au Festival Documental à Lyon. « Prix du meilleur film européen avec une thématique latino-américaine» au Festival UNASUR en Argentine...

Animita
En développement
Soutiens : Procirep Angoa - aide au développement - Atelier « Premier Jet » au Festival La Première Fois à Marseille - Résidence « Les Pitchs d’Addoc » à Paris - Résidence d’écriture chez Ty Films à Méllionnec
Les morts n’ont d’autre existence que celle que les vivants inventent pour eux. Au Chili, lorsque quelqu’un meurt tragiquement dans l’espace public, on lui construit à l’endroit même de sa disparition une animita, une petite maison, mémorial populaire où se recueillir et demander des faveurs. Morts soudaines, violentes et injustes, deuils traumatiques. Je pars à la rencontre de ceux qui érigent et honorent les animitas et ensemble nous nous interrogeons sur la place que peuvent occuper les morts dans nos vies. Autour de dialogues avec les chiliens devant les animitas, grâce aux résonances et dissonances de leurs histoires intimes, petit à petit je leur raconte mon histoire. Alex, mon grand amour, est mort il y a plus d’une décennie.